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Comment analyser la culture d’une entreprise ?

Comment analyser la culture d’une entreprise ?

Outils de mesure de la culture d’entreprise

Les outils de mesure de la culture d’entreprise doivent ĂȘtre connus de tout dirigeant actuel ou futur ; quels devraient ĂȘtre les indicateurs de la culture d’une entreprise, les types de cultures suggĂ©rĂ©s par les types de configuration organisationnelle ou dĂ©finis par les chercheurs (voir l’article prĂ©cĂ©dent :

La culture officielle d’une entreprise est l’ensemble des façons de penser, de ressentir et d’agir qu’une direction souhaite que le plus grand nombre possible d’employĂ©s postulent. Pour une entreprise, en fait, la large association https://outilspourdiriger.fr/la-culture-dentreprise/ dĂ©termine sa cohĂ©sion interne globale, le degrĂ© de motivation de chaque employĂ© et facilite grandement la coordination informelle de ses activitĂ©s.

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Mais cette direction sait Ă©galement qu’un L’entreprise n’est pas une secte , que chaque employĂ© possĂšde sa propre culture, qui peut ĂȘtre ou devenir pleinement compatible avec la culture officielle, mais elle peut aussi ĂȘtre divergente ou mĂȘme opposĂ©e.

C’est pourquoi la direction affiche les valeurs, les normes, les procĂ©dures, etc. que vous souhaitez voir appliquĂ©es ; construit des symboles et des mythes pour alimenter la cohĂ©sion ; forme vos recrues ; crĂ©e des gestionnaires et des systĂšmes de contrĂŽle et de rĂ©munĂ©ration qui soutenir la culture choisie.

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Ainsi, vous pouvez obtenir une adhĂ©sion suffisante de vos employĂ©s Ă  votre culture ; progressivement, par essais et erreurs, par le biais de votre systĂšme de rĂ©munĂ©ration, par exemple par la formation, par l’action des gestionnaires, etc. (partagez votre vision avec vos employĂ©s).

Vous pouvez Ă©galement, Ă  un moment donnĂ©, voir les informations plus claires, mieux fonder vos dĂ©cisions et choisissez vos moyens d’action en fonction de mesures aussi prĂ©cises que possible. Par exemple, sachez avec une certaine prĂ©cision quelle est la perception de la culture d’entreprise de vos employĂ©s, quels sont les aspects de la culture officielle qui perdent le plus ; quels changements sont souhaitĂ©s par les employĂ©s pour amĂ©liorer leur bien-ĂȘtre au travail ou pour accroĂźtre l’entreprise. la capacitĂ© d’atteindre ses objectifs, etc.

La tentative de répondre à ces besoins a conduit les chercheurs à créer des questionnaires.

Le questionnaire idĂ©al serait celui que l’entreprise construirait pour elle, pour rĂ©pondre Ă  ses propres questions, ce qui n’est pas impossible, mais trĂšs difficile… si nous n’avons pas au moins quelques sources d’inspiration.

Proposer ces sources d’inspiration , voire mĂȘme des questionnaires prĂȘts Ă  l’emploi, est le but de cet article.

Les trois outils de mesure que nous avons choisis Les modÚles internationaux réputés et largement utilisés sont présents :

  • Instrument d’Ă©valuation de la culture organisationnelle de Cameron et Quinn (« Instrument d’Ă©valuation de la culture organisationnelle »), connu sous le nom d’OCAI
  • Cooke and Lafferty Corporate Culture Inventory (« Enterprise Culture InventoryÂź »), connu sous le nom de OCI .
  • L’instrument de culture organisationnelle Post and Coning. (« Instrument de culture organisationnelle »), qui sera appelĂ© PO

Présentons chaque outil avant de commencer une comparaison.

1. L’OCAI de Cameron et Quinn (Instrument d’Ă©valuation de la culture organisationnelle)

Nous prĂ©senterons le questionnaire, ainsi que la typologie des cultures d’entreprise choisies par les auteurs.

1.1. Les dimensions culturelles et le questionnaire.

Ces auteurs considÚrent six dimensions culturelles et, pour chaque dimension, proposent quatre options ; les personnes interrogées répondent en divisant 100 parmi les 4 options proposées.

Ainsi, dans les « CaractĂ©ristiques dominantes » ci-dessous, par exemple, la question serait : « Dans quelle mesure chacune des dĂ©clarations suivantes dĂ©crit-elle mieux l’entreprise ? (Culture actuelle) ou « dans quelle mesure chacune des dĂ©clarations suivantes serait-elle idĂ©ale pour l’entreprise ? (Culture idĂ©ale).

1.1.1. Ressources dominantes

— L’entreprise est un endroit trĂšs « familier ».

— L’entreprise est un lieu trĂšs entrepreneurial.

— L’entreprise est trĂšs orientĂ©e vers les rĂ©sultats.

— L’entreprise est un lieu trĂšs contrĂŽlĂ© et structurĂ©.

1.1.2. Gestion.

Les dirigeants sont considĂ©rĂ©s comme des exemples de mentor, d’animateur ou de soutien.

Les dirigeants sont considĂ©rĂ©s comme des exemples d’entrepreneurs, d’innovateurs ou de preneurs de risques.

Les leaders sont considérés comme des exemples de contrÎleurs résultats agressifs.

Les dirigeants sont considĂ©rĂ©s comme des exemples d’organisateurs et de coordonnateurs efficaces.

1.1.3. Gestion des employés

Le style de gestion se caractĂ©rise par le travail d’Ă©quipe, le consensus et la participation.

Le style de gestion se caractĂ©rise par la prise de risque individuelle, l’innovation et la libertĂ©.

Le style de gestion se caractérise par une compétitivité et une forte demande de résultats.

Le style de gestion se caractérise par la sécurité au travail et la stabilité des relations.

1.1.4. Le ciment de l’entreprise

Les ciments qui unissent l’entreprise sont la loyautĂ©, la confiance mutuelle et l’engagement.

Le ciment qui unit l’entreprise est l’engagement envers l’innovation et le dĂ©veloppement.

Le ciment qui unit l’entreprise est axĂ© sur la rĂ©alisation des objectifs et des « victoires ».

Les ciments qui unissent l’entreprise sont des rĂšgles et des politiques formelles.

1.1.5 Priorités

stratĂ©gique L’entreprise favorise le dĂ©veloppement humain, la confiance et la participation.

L’entreprise se concentre sur l’acquisition de nouvelles fonctionnalitĂ©s et la crĂ©ation de nouveaux dĂ©fis.

L’entreprise met l’accent sur les gains et les rĂ©alisations concurrentiels.

L’entreprise privilĂ©gie la stabilitĂ©, l’efficacitĂ© et le contrĂŽle.

1.1.6. CritĂšres de succĂšs

L’entreprise dĂ©finit le succĂšs en fonction du progrĂšs des hommes, du travail d’Ă©quipe et de l’engagement.

L’entreprise dĂ©finit le succĂšs en se basant sur la crĂ©ation de produits uniques ou rĂ©cents.

L’entreprise dĂ©finit le succĂšs en se basant sur des victoires concurrentielles.

L’entreprise dĂ©finit le succĂšs en fonction de l’efficacitĂ© de la production et de la fiabilitĂ© de la livraison.

Le questionnaire peut ĂȘtre axĂ© sur la culture actuelle ou la culture souhaitĂ©e. Le questionnaire peut ĂȘtre envoyĂ© Ă  l’ensemble ou Ă  une partie de l’entreprise. Nous pouvons segmenter l’analyse des rĂ©sultats.

1.2. Les 4 types de cultures d’entreprise sĂ©lectionnĂ©es par les auteurs.

Les principales valeurs culturelles d’une entreprise sont opposĂ©es sur deux axes :

– l’axe de la valeur principale qui dĂ©finit le bien-ĂȘtre des personnes par rapport Ă  la performance de l’entreprise ;

– l’axe de la structure organisationnelle qui s’oppose au contrĂŽle de la stabilitĂ© et Ă  la flexibilitĂ©-innovation .

Les quatre quadrants dĂ©finissent les quatre modĂšles de culture d’entreprise suivants, prĂ©sentĂ©s dans le sens des aiguilles d’une montre :

– La culture du clan . Il se concentre sur la dimension interne (travail d’Ă©quipe, participation et consensus) pour le bien-ĂȘtre de ses membres et la flexibilitĂ© nĂ©cessaire pour gĂ©rer l’environnement.

– La culture adhocratique (issue de « ad hoc ») adaptĂ© Ă  la situation, au projet) ou au modĂšle de systĂšmes ouverts.

Il se concentre principalement sur les problÚmes externes et la flexibilité nécessaires à la gestion de votre environnement. Ses valeurs clés sont la créativité et les risques, et les organigrammes sont temporaires ou inexistants.

– La culture de marchĂ© ou modĂšle d’objectifs rationnels.

Il se concentre également principalement sur les problÚmes externes, mais valorise la stabilité et le contrÎle.

– La culture bureaucratique ou le modĂšle des procĂ©dures internes.

Il met davantage l’accent sur les questions internes et les valeurs de tradition, de cohĂ©rence, de coopĂ©ration et de conformitĂ©. C’est la culture traditionnelle du commandement et du contrĂŽle.

Sur le cÎté droit, nous voyons ce que peut signifier la différence de mesure entre la « culture actuelle » et la culture préférée.

2. L’ICO de Cooke et Lafferty (« Business Culture InventoryŸ »).

ICO mesure ce que les membres ou groupes d’une entreprise considĂšrent ĂȘtre attendus d’eux dans l’entreprise (culture actuelle). Il peut Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© pour mesurer ce qu’il faut attendre d’eux Ă  l’avenir, idĂ©alement pour l’entreprise (culture idĂ©ale).

L’OIC identifie 12 types d’attentes que les auteurs appellent des « styles culturels  » et exploite un regroupement pour dĂ©finir trois types de culture d’entreprise.

Présentons chaque « style » avant le regroupement.

2.1. Styles culturels

NB : Le nombre de styles sélectionnés ci-dessous est celui indiqué dans le graphique ci-dessous.

1- Le style encourageant les humanistes favorise la solidarité entre les membres.

Les membres sont censĂ©s ĂȘtre solidaires et s’encourager mutuellement, rĂ©soudre les conflits constructifs et adopter une approche consultative et collaborative.

2.- Le style d’affiliation favorise les relations positif parmi les membres.

On s’attend Ă  ce qu’ils soient amicaux, coopĂ©ratifs, rĂ©flĂ©chissent en termes d’avantages mutuels et soient sensibles Ă  la satisfaction de votre groupe.

3.- Le style d’approbation favorise l’approbation des autres. On s’attend Ă  ce que les membres fassent les choses de maniĂšre Ă  obtenir l’approbation des autres, Ă  Ă©viter les conflits et les affrontements et Ă  plaire aux autres.

4.- Le style conventionnel favorise le respect des rĂšgles Ă©tablies. Les membres sont censĂ©s se conformer aux rĂšgles, pratiques, routines et procĂ©dures Ă©tablies ; pour s’assurer qu’ils ne sont pas responsables des erreurs, attendez-vous Ă  ce qu’ils soient informĂ©s de ce qu’ils doivent faire, etc.

5- Le style Dependent favorise l’exĂ©cution des ordres et la satisfaction du supĂ©rieur. Les membres sont censĂ©s accepter de faire ce qu’on leur dit et d’expliquer leurs dĂ©cisions au superviseur sans prendre d’initiative.

6- Les faveurs de style Eviter l’Ă©vitement des responsabilitĂ©s et la censure. Les membres sont censĂ©s transfĂ©rer leurs responsabilitĂ©s Ă  d’autres personnes et Ă©viter toute possibilitĂ© d’ĂȘtre coupables.

7- Le style de l’opposition favorise la critique et la rĂ©sistance au changement.

Les membres sont censĂ©s ĂȘtre critiques, s’opposer aux idĂ©es des autres et ne pas accepter facilement les critiques car ils doivent prendre des dĂ©cisions sĂ»res.

8- Le style Power donne la priorité au statut et aux commandes. Les membres sont censés remplir les ordres des supérieurs et envoyer leurs subordonnés aux commandes et au contrÎle.

9- Le style compétitif favorise la concurrence avec les autres et le désir de « gagner ».

Les membres doivent vaincre les autres et faire mieux que leurs pairs ; ils seront perçus comme meilleurs ou plus élevés.

10- Le style perfectionniste favorise le besoin de travailler dur sans jamais se tromper. Les membres sont attendus paraĂźtre compĂ©tent, travaillez dur et fixez des objectifs trĂšs ambitieux et mĂȘme irrĂ©alistes.

11- Le style Achievement favorise la rĂ©alisation d’objectifs ambitieux mais rĂ©alistes et l’amĂ©lioration des performances. Les membres sont censĂ©s poursuivre l’excellence, se fixer des objectifs ambitieux et continuer Ă  les atteindre avec enthousiasme.

Le style auto-actualisant favorise le dĂ©sir de se concentrer sur le dĂ©veloppement continu de soi et de ses rĂ©alisations. Les membres sont censĂ©s toujours chercher Ă  amĂ©liorer la qualitĂ© de leur travail, Ă  s’occuper de tĂąches nouvelles et intĂ©ressantes et Ă  se dĂ©velopper.

Chaque « style » est mesurĂ© Ă  l’aide de 10 Ă©lĂ©ments.

2.2. Les trois types de culture d’entreprise choisis par les auteurs

Le diagramme ci-dessous donne une vue d’ensemble de la crĂ©ation de groupes d’auteurs des styles culturels pour construire trois types de culture d’entreprise.

– La culture constructive (bleu) qui rĂ©unit les styles 11.Conquest, 12. RĂ©alisation de soi, 1. Incitation humaniste et 2. Affiliation.

Cette culture Ă©tablit le juste Ă©quilibre entre rĂ©pondre aux besoins des hommes et ceux d’accomplir des tĂąches. Il s’agit gĂ©nĂ©ralement de la culture des entreprises rentables et performantes de maniĂšre durable. Il se caractĂ©rise par des objectifs ambitieux, une rĂ©solution efficace des problĂšmes, une attente de hautes performances, un soutien mutuel et un encouragement.

– La culture dĂ©fensive passive (verte) qui rĂ©unit 3 styles. Approbation, 4. Conventionnel, 5. DĂ©pendant, 6. Évitement.

Cette culture donne aux hommes la prioritĂ© sur l’accomplissement des tĂąches. Il se concentre sur la sĂ©curitĂ© et la protection, la prĂ©vention de la responsabilitĂ© et la recherche d’approbation par d’autres personnes.

– La culture agressive-dĂ©fensive (rouge) qui rĂ©unit les 7 styles. Opposition, 8. Puissance, 9. CompĂ©titif et 10. Perfectionniste.

Cette culture donne la prioritĂ© Ă  l’accomplissement des tĂąches relatives aux besoins des hommes. Can produisent du succĂšs Ă  court terme, mais souvent au dĂ©triment d’une croissance durable. Les comportements peuvent inclure le perfectionnisme, la nĂ©cessitĂ© de maintenir le contrĂŽle et la critique constante des contributions des autres.

  1. OC. De Post et Coning. (« Instrument de culture organisationnelle »)

Le but du BC est de mesurer les Ă©valuations que les membres d’une entreprise font de l’action de la direction en matiĂšre de culture. L’OC identifie 15 Ă©lĂ©ments ou dimensions culturels fondamentaux et le questionnaire demande d’Ă©valuer dans quelle mesure l’action de la direction atteint chaque Ă©lĂ©ment.

3.1. Les dimensions culturelles.

— Gestion de la culture. Évaluation de la mesure dans laquelle l’entreprise s’engage activement et dĂ©libĂ©rĂ©ment Ă  façonner la culture de l’entreprise.

— Conseils Ă  la clientĂšle . Évaluation de Mesure dans laquelle l’entreprise considĂšre les clients et rĂ©agit activement Ă  leurs demandes.

— Encourager le changement . Évaluation de la façon dont les employĂ©s sont encouragĂ©s Ă  faire preuve de crĂ©ativitĂ© et d’innovation et Ă  chercher de meilleurs moyens de faire le travail.

— Participation des employĂ©s. Évaluation de la mesure dans laquelle les employĂ©s se perçoivent comme impliquĂ©s dans le processus dĂ©cisionnel de l’entreprise.

— ClartĂ© des objectifs . Évaluation de la mesure dans laquelle l’entreprise crĂ©e des objectifs clairs.

— IntĂ©rĂȘt pour les ressources humaines . Évaluation de la mesure dans laquelle l’entreprise est perçue comme prĂ©sentant un grand intĂ©rĂȘt pour ses membres.

— Identification de l’entreprise. Évaluation de la mesure dans laquelle les employĂ©s sont encouragĂ©s Ă  s’identifier Ă  l’entreprise

— Puissance et autonomie . Évaluation du degrĂ© de pouvoir, de libertĂ© et d’autonomie chaque employĂ© a dans son travail.

— Style des gestionnaires. Évaluation de la mesure dans laquelle les gestionnaires fournissent une communication claire, une assistance et un soutien Ă  leurs subordonnĂ©s.

— Centralisation de l’entreprise. Évaluation de la mesure dans laquelle l’entreprise est perçue comme axĂ©e sur ses principales activitĂ©s.

— IntĂ©gration interne. Évaluation de la mesure dans laquelle les diffĂ©rentes sous-unitĂ©s de l’entreprise sont activement encouragĂ©es Ă  se coordonner et Ă  coopĂ©rer efficacement pour atteindre les objectifs mondiaux.

— Incitation Ă  la performance. Évaluation de la mesure dans laquelle l’accent est mis sur la responsabilitĂ© individuelle de la rĂ©alisation des objectifs et de la production d’un niveau Ă©levĂ© de performance.

— Base de rĂ©compenses. Évaluation de la mesure dans laquelle les rĂ©compenses sont fondĂ©es sur la performance plutĂŽt que sur l’anciennetĂ©, le favoritisme ou tout autre critĂšre de non-rĂ©alisation.

— Conclusion de la tĂąche. Évaluation de la mesure dans laquelle le comportement des employĂ©s est rĂ©gi par les rĂšgles, les procĂ©dures et la supervision d’un gestionnaire.

Enfin, ces outils de mesure diffÚrent principalement par les principaux éléments de la culture choisis par leurs auteurs, en termes de « dimensions culturelles  » à mesurer.

Les trois outils Ă©valuent l’action de gestion de l’entreprise en matiĂšre de culture, mais c’est l’ICO qui le rend de la maniĂšre la plus originale et la plus pertinente.

Pour le reste, la similitude prédomine, en particulier, la possibilité de mesurer la « culture actuelle » ou la « culture désirée », de révéler des différences, etc.

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